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moda 1Sept des huit étudiants de la formation cuisine du CFP-VG avec, de gauche à droite, Luc Clément, Josiane Vachon, Mélanie Riel, Julie Desforges, Katherine Lafrenière, Louis Carle et Annie Bruyère.
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Maniwaki, le 20 sept. 2012 - Jusqu'au 14 octobre, tous les mercredis, jeudis et vendredis, entre 18h et 20h30, El Moda vous invite à venir goûter les plaisirs de la table.

À l'horaire de la formation cuisine de la Vallée-de-la-Gatineau, des tables d'hôte et quelques variantes, car "chaque module comporte un nombre d'heures et des buffets à faire", de mentionner le chef enseignant, Monsieur Yves Joanis, rencontré en pleine occupation dans la cuisine de la Cité étudiante de la Haute-Gatineau.

Les objectifs du programme se traduisent par l'acquisition de connaissances, d'habiletés et d'attitudes nécessaire pour utiliser de façon sécuritaire l'outillage et l'équipement de cuisson appropriées, apprêter les denrées alimentaires brutes (fruits, légumes, viandes, volailles, gibiers, poissons, mollusques et crustacés), réaliser des potages, des pâtes de base, des hors-d'oeuvre, des pâtisseries, des entremets et des pièces décorées pour les buffets froids, effectuer, la mise en place et le service de divers menus tels que les petits déjeuners, les tables d'hôte, les menus à la carte et les buffets. Un horaire de quelque vingt-trois cours totalisant 1 350 heures de formation.

La brigade: À tous les soirs, le chef enseignant procède à une rotation qui permet aux étudiants (brigade) d'acquérir les connaissances de toutes les étapes préparatoires à la table d'hôte, composée des entrées froides et chaudes, les plats principaux et les desserts.

Le groupe est formé de huit étudiants, inscrits et actifs, pour une capacité d'accueil de quinze apprentis. Tous les lundis, ils se réunissent avec l'enseignante Lynda Lyrette pour jeter un coup d'oeil sur les soldes (encarts des marchés d'alimentation) afin de déterminer les achats, dans la perspective d'apprendre à budgéter les denrées qui feront l'objet de transformation pour le délice de la clientèle. Cela fait partie de la formation.

Cuisiner en deux temps: Il y a la mise en place, le travail au cours de la matinée (ou de l'après-midi) pour confectionner les préparations qui serviront à la réalisation des plats. Et le service, le moment de la finalisation des plats et de leur dressage avant l'envoie au client, par l'intermédiaire du personnel.

Le chef enseignant va droit au but: "Ici ce qu'il est important de savoir c'est que pour la table d'hôte on a besoin de gens qui aiment bien manger. Il ne faut pas s'attendre à un service rapide alors on doit prévoir des petits délais. les gens sont satisfaits. Ils n'hésitent pas à nous faire part de leurs commentaires élogieux et constructifs." Les clients récidivent pour la beauté des plats, les délices de la dégustation et le prix plus qu'abordable.

Un local classe a été aménagé selon les règles de la sécurité en salle à dîner, pouvant accueillir 36 personnes sur réservation auprès de Jennifer Richard au 449-7922, poste 19265 ou par courriel à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Au cous de leur apprentissage, les étudiants doivent compléter 105 heures de stage dans des organismes et entreprises diversifiés. Le Centre de santé et des services sociaux de la Vallée-de-la-Gatineau, La Mie sous la croûte, Le Rabaska, le Château Logue, le Foyer Père Guinard, entre autres, permettront aux cuisiniers de se familiariser avec les cuisines d'établissement.

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moda 3Les étudiants en pleine préparation culinaire.

moda 4La salle à dîner.

mission accomplieFélicitations aux finissants et finissantes.
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MANIWAKI, LE 26 JUIN 2012- Le 16 juin dernier, à la salle Apollo, de Maniwaki, a eu lieu la graduation de la première cohorte de la formation Assistance à la personne en établissement de santé (APES), dans la Vallée de la Gatineau.

Débutée à l’automne 2011 avec 26 élèves, la formation du CFP Vallée de la Gatineau a pris fin le 7 juin avec la remise des diplômes à 22 finissantes. La formation a duré 750 heures.

Il aura fallu pratiquement un an de dur labeur au CFP-VG et à la CSHBO pour arriver à démarrer cette formation qui doit surtout servir à former les gens ici afin de travailler dans notre région. Plusieurs investissements matériels ont été nécessaires afin d’être conforme aux normes du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Une entente a été faite avec la Cité étudiante pour des locaux et il a fallu ensuite adapter ces mêmes locaux aux besoins de la formation.

Grâce au partenariat de plusieurs intervenants, dont le Centre local d’emploi et le Centre de santé et de services sociaux de la Vallée de la Gatineau, la formation fut une réussite sur toute la ligne. Un merci particulier à Mme Lucie Monfils, directrice du CFP Vision avenir, de Gatineau (d’où cette formation est empruntée), ainsi qu’aux enseignantes Danielle Dénommé, Marielle LaSalle, Annick Aubut et Georgette Renaud.

«Il me fait énormément plaisir d’être avec vous ce soir», de dire le directeur du CFP-VG, M. Serge Lacourcière, lors de la soirée. «Mesdames les finissantes, pendant presqu’un an, vous vous êtes engagés dans une formation difficile afin de pouvoir atteindre votre rêve. Pour plusieurs, ce fut un retour aux études et vous avez su concilier études, travail et famille, ce qui n’est pas une mince tâche. Aujourd’hui, vous récoltez le fruit de vos efforts. Pour certaines d’entre vous, vous êtes déjà en emploi et, pour les autres, ça ne saurait tarder, j’en suis sûr. Vous aurez enfin l’opportunité de démontrer votre savoir-faire et de prouver vos compétences acquises lors de votre séjour au CFP-VG.»

«Comme vous le savez certainement, d’autres formations comme la vôtre se sont donné dans l’Outaouais cette année. À la fin des 750 heures, vous êtes le groupe où il y a eu le moins d’abandons et, surtout, le plus grand nombre de diplômées de tout l’Outaouais. Félicitation à toutes pour votre persévérance», a-t-il ajouté.

«Je tiens à féliciter chaleureusement les élèves de cette formation. Celles-ci ont travaillé d’arrache-pied, ont réussi à orchestrer travail et jeunes familles, conjoints, évènements familiaux et, surtout, elles ont réappris à venir à l’école pour certaines. Chères élèves, chères finissantes, vous avez maintenant atteint la fin du voyage, le grand voyage que représentait cette formation. Vous en avez atteint le terme et vous pouvez maintenant goûter à la joie d’avoir réussi et d’avoir fait la preuve de votre talent et de votre détermination. Je suis fière de vous», a dit, pour sa part, la commissaire Mme Marise Veilleux, représentante de la présidente Mme Diane Nault.

Maniwaki, le 1 juin 2012 - Dans le cadre d’une toute nouvelle activité mise sur pied pour aider les élèves de 6e année du primaire à découvrir la formation professionnelle (L’académie de l’avenir), dix élèves du Rucher ont passé une journée au centre de formation professionnelle de la Vallée de la Gatineau.

Initiée par le directeur du CFP, M. Serge Lacourcière, l’activité a eu lieu le vendredi 1er juin et les élèves, provenant de sept écoles primaires différentes, ont découvert la formation de cuisine et celle de mécanique de véhicules légers. Divisés en deux équipes, ils ont consacré une demi-journée à chaque formation, par alternance.

Deux adultes ont accompagné les élèves durant leur découverte, soient Mme Madeleine Lefebvre, directrice adjointe du Rucher, et Mme Nicole Duquette, représentante d’Agir ensemble et réussir. «Le but de l’activité, essentiellement, c’est de faire en sorte que les élèves du primaire aient l’opportunité d’en apprendre davantage sur les différents métiers de la formation professionnelle, avant même qu’ils accèdent au niveau secondaire», de dire Mme Duquette.

«Encore aujourd’hui, malgré tous les efforts qui sont déployés pour faire connaître la formation professionnelle, on se rend compte que celle-ci demeure méconnue. Pourtant, la formation professionnelle est une alternative intéressante pour les élèves et constituent aussi un moyen de favoriser la persévérance scolaire. C’est pourquoi la CSHBO fait de grands efforts pour la faire connaître auprès du grand public, des élèves du secondaire et, comme ici, des élèves du primaire», d’ajouter Mme Duquette.

C’est pour atteindre cet objectif que l’activité L’académie de l’avenir a été créée. La première édition vient d’avoir lieu et l’activité est d’ores et déjà promise à revenir et à prendre plus d’envergure au cours des prochaines années.

rucher 1Cours de cuisine : les étudiantes, Josiane Vachon et Mélissa Saumure, donnent des explications aux élèves du primaire (Mélissa Belzile, Cédric Barbe, Maxime Hébert, Carolane Lefebvre, Chloé St-Martin et Audréanne Henri).
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rucher 2Mécanique de véhicules légers : l’enseignant du cours, Pierre-Luc Lamarche, explique le fonctionnement de l’appareil aux élèves du Rucher (Félix Taillon, Alexandre Guénette, Alex Pelletier Deslonges et Brandon Côté).
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Source: Charles Millar

finissantsLes finissants, les enseignants et le directeur du CFP-VG.
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MANIWAKI, LE 26 JUIN 2012- Le 15 juin dernier, à l’Auberge du Draveur, de Maniwaki, a eu lieu la soirée des finissants et finissantes en secrétariat et comptabilité, du Centre de formation professionnelle Vallée de la Gatineau.

En tout, neuf étudiantes et un étudiant ont reçu leur diplôme d’études professionnelles lors de cette soirée. Plusieurs certificats et prix ont aussi été remis au cours de l’activité.

«Je vous félicite et vous souhaite un succès à la hauteur de vos espérances. Je suis assuré que vous serez les dignes représentantes et représentant du CFP et je profite de l’occasion pour remercier sincèrement et pour féliciter l’équipe d’enseignantes qui vous ont accompagné tout au long de votre parcours au CFP. Merci et bravo», de dire le directeur du CFP-VG, M. Serge Lacourcière.

 

MANIWAKI, LE 26 mars 2012 – Kathryn C. Rousseau, une élève de la formation d’armurerie, au CFP Vallée de la Gatineau, a été nommée lauréate régionale du concours Chapeau les filles!

La remise du prix a eu lieu le 20 mars dernier, au campus Félix-Leclerc du Collège de l’Outaouais, à Gatineau. Kathryn faisait partie du groupe de quatorze lauréates régionales choisies en Outaouais. Une bourse de 500 $ lui a été décernée.

Kathryn est inscrite à la formation d’armurerie depuis août et elle aspire à devenir armurière. Fille de militaire, elle est familière avec les armes à feu et ne se sent pas du tout mal à l’aise de travailler avec ses collègues masculins.

Fait notable, Kathryn réside à Chute-St-Philippe, dans les Laurentides, et elle doit faire une heure et quart de route à tous les matins et à tous les soirs de la semaine, pour aller au cours. Fait encore plus notable, elle fait la route avec son père, puisque celui-ci, Yves Cloutier, est lui aussi inscrit au cours. À la connaissance du directeur de l’établissement, Serge Lacourcière, c’est probablement la première fois qu’un duo père et fille (ou père et fils) est inscrit au cours en même temps.

Kathryn et l’armurerie

Kathryn est une passionnée du métier d’armurier. «Le travail de l’armurier ne consiste pas seulement à nettoyer des armes», indiquait-elle dans son formulaire d’application pour le concours.

«Un armurier doit apprendre à maintenir, nettoyer et remettre en état les armes à feu. L’armurerie est beaucoup plus, par contre. C’est une vocation. La persévérance que j’ai acquise est indispensable dans l’accomplissement des subtilités du métier. Ce n’est pas seulement un métier, c’est avant tout un art. L’art de la gravure sur métaux ou sur le bois est un métier en lui-même. La satisfaction qu’on ressent quand on termine une pièce que ce soit une pièce machinée ou simplement une pièce limée est tellement enrichissante.»

«La façon que j’ai trouvée pour être aussi compétitive que les garçons? C’est simplement de donner le meilleur de moi-même, de faire confiance en mes capacités et, surtout, de travailler fort. J’ai la détermination pour réussir, je réussis à me surpasser et, ainsi, je peux arriver à atteindre mes objectifs et mon rêve», ajoutait-elle.

Source : M. Charles Millar

chapeau filles 1Kathryn C. Rousseau, accompagné de son enseignant, George Meunier (à gauche), et de son père, Yves Cloutier (au centre).

chapeau filles 2La présidente de la CSHBO, Mme Diane Nault (à gauche), et la lauréate (à droite), lors de la soirée de remise de prix.